jeudi 5 mars 2015

Sclerose en plaques evolution

Comment évolue la SEP en fonction. La destruction progressive des gaines de myéline ralentit la transmission des influx nerveux. Le diagnostic de sclérose en plaques (SEP) est fondé sur un faisceau d’arguments cliniques et para-cliniques de dissémination temporelle et spatiale des lésions du système nerveux central (SNC) en dehors d’une autre maladie évolutive. La forme récurrente-rémittente représente des cas de sclérose en plaques.


Il proposa de poser le diagnostic de sclérose en plaques chez des malades qui présentaient l’association de ces trois symptômes, appelée triade de Charcot.

Il a constaté rapidement que la sclérose en plaques pouvait se manifester par d’autres signes, notamment sur des formes bénignes, qu’il appelait formes frustes. Néanmoins, la sclérose en plaques n’est pas une maladie héréditaire : pour un enfant dont l’un des parents est atteint, le risque de développer une sclérose en plaques est très proche de celui d’un enfant dont les deux parents sont indemnes de la maladie. Ces symptômes ne sont pas propres à la SEP-PP mais ont tendance à devenir plus persistants et difficiles à prendre en charge 5. La sclérose en plaques est une maladie du jeune adulte qui représente la première cause de handicap sévère non traumatique chez les trentenaires. L’âge moyen de début des symptômes est en effet ans. La maladie touche davantage de femmes, avec un sex-ratio de homme pour femmes environ.


Deux formes de sclérose en plaques. Mal connue du grand public, la sclérose en plaques (SEP) souffre encore de nombreuses idées reçues.

L’évolution de la sclérose en plaques (SEP) est imprévisible et très variable. De même, cette évolution peut prendre une forme différente au fil des ans. Il est donc très difficile de faire un pronostic sur la gravité de l’évolution ou sur les troubles éventuels. Elle dure au moins heures et à au moins jours de la poussée précédente. Ainsi, ils peuvent correspondre à : des troubles de la sensibilité.


Nous vous parlerons un peu plus tard de tout ce qui touche au diagnostic de la maladie. Question scléroses en plaques symptomes, il faut savoir que ceux-ci sont relativement nombreux et variés. Un axone abîmé dans une plaque va lentement se dissoudre, dégénérer et finalement entraîner la mort du neurone dont il dépend. Il s’agit d’une femme deux fois plus.


D’une personne à une autre, on note le plus souvent une inégalité entre les mesures de défense de l’organisme contre les attaques bactériennes. C’est donc à juste titre que les symptômes de la sclérose en plaques changent selon la zone du système neurologique central. Les chercheurs ont pu estimer à 7ans pour une femme et 8ans pour un homme, l’espérance de vie moyenne d’une personne atteinte de sclérose en plaques. Les auteurs précisent qu’il faut bien entendu tenir compte des diverses formes évolutives de la maladie.


Ainsi l’espérance de vie mixte est plus élevée pour les formes. Elle est consécutive à une ou deux attaques avec rémission totale et ne s'aggrave pas avec le temps. Cette forme n'est reconnaissable que lorsqu'il n'existe que peu (voire pas du tout) de symptômes (souvent sensitifs) quelque à ans après le diagnostic.

L'évolution de la sclérose en plaques est clairement ralentie par un traitement efficace et, comme le traitement doit être adapté à chaque phase. Sclérose en plaques dite bénigne. Le Pr Catherine Lubetzki , neurologue à la Pitié-Salpêtrière, et Jean-Frédéric De Leusse, président de l’ARSEP (fondation pour l’aide à la recherche sur la sclérose en plaques ), évoquent l’évolution de la recherche et des traitements contre la sclérose en plaques pour améliorer la qualité de vie des patients.


Les personnes d’origine caucasienne sont les plus touchées. A l’inverse, la sclérose en plaques est exceptionnelle dans les populations africaines et asiatiques. Dans une famille où la maladie est présente, le risque de sclérose en plaques est significativement plus élevé que dans une population témoin. Plaques de démyélinisation focales disséminées dans la substance blanche (principale zone myélinisée) du SNC (nerf optique, zones périventriculaires, corps calleux, cervelet, moelle épinière, etc.).


Les symptômes cliniques sont liés à la localisation de la plaque, expliquant leur diversité. Elle évolue le plus souvent par poussées, mais peut aussi se manifester de manière plus progressive. Dans des cas, la sclérose en plaques de forme récurrente-rémittente (SEP-RR) évolue en moins de ans vers une forme secondaire progressive. Rien ne contre-indique, a priori, la grossesse si vous présentez une sclérose en plaques. La grossesse ne pose pas de problèmes particuliers.


La fréquence des poussées de sclérose en plaques augmente au premier trimestre puis diminue tout au long de la grossesse. Le dysfonctionnement du système immunitaire lors des poussées inflammatoires cause une destruction de la myéline (substance constituant la gaine protectrice des neurones).

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